Côte d'Ivoire
Burkina Faso
Gabon
Congo
Sénégal
Bénin
Afrique du Sud
Angola
Botswana
Burundi
Cameroun
Cap-Vert
Centrafrique
Congo (RDC)
Djibouti
Erythrée
Ethiopie
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée Bissau
Guinnée Equator...
Kenya
Lesotho
Libéria
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritanie
Mozambique
Namibie
Niger
Nigeria
Ouganda
Rwanda
Sao Tomé
Sierra Leone
Somalie
Soudan
Swaziland
Tanzanie
Tchad
Togo
Zambie
Zimbabwe
Algérie
Comores
Egypte
Maroc
Tunisie
Libye
Afrique
Côte d'Ivoire : Face à l'ajustement des prix du carburant, Diaby Ibrahim promet une concertation avec les consommateurs dans la fixation des coûts du transport
La cérémonie samedi à Abidjan (DR)
La Fédération Ivoirienne des Consommateurs, le Réveil, l'Union Fédérale des Consommateurs de Côte d'Ivoire, la Fédération des Réseaux Ivoiriens de Consommateurs, la Fédération des Associations de Consommateurs de Côte d'Ivoire, la Fédération des associations de Consommateurs actifs de Côte d'Ivoire et de l'Union Générale des Consommateurs étaient en conclave le week-end dernier à Abidjan.
Il s’agissait d’afficher leur position face à l’ajustement des prix du carburant et leur répercussion dans le milieu du transport.
Heureux de l'approche, le Directeur Général du Haut Conseil des Entreprises de Transport Routier de Côte d'Ivoire, Diaby Ibrahim a promis continuer de travailler pour une décision concertée avec les consommateurs dans la fixation des coûts du transport.
Face à l'ajustement des prix du carburant, les transporteurs ont refusé une augmentation du coût du transport urbain et inter-urbain. C'est pour saluer cette action que 06 associations de consommateurs se sont rendues, le samedi 08 octobre 2022, à Treichville au siège du Haut Conseil des Entreprises de Transport Routier de Côte d'Ivoire.
Donatien Kautcha, Abidjan
Infos à la une
Messieurs, vous qui vous donnez la peine de vouloir defendre
Messieurs,vous qui vous donnez la peine de vouloir défendre les consommateurs nous vous disons merci car il y a davantage à faire. La vie chère est entrain de tout chambouler et nous le vivons au quotidien. L'activité de l'attieke génératrice de revenus pour les femmes a pris un coup chez nous. Cet état de fait impacte ceux qui cultivent le manioc. Les pauvres femmes ne tiennent pas devant la flambée des coûts de ce qui compose la fabrication de l'attieke. Un jeune planteur m'a fait la confidence de ne pouvoir écouler ses deux hectares de manioc, source de revenu pour la scolarisation de ses enfants Une vielle dame m'a presque fait couler les larmes le dimanche quand elle m'a fait savoir que la veille faute d'avoir les moyens pour acheter du poisson qui est d'ailleurs rare, elle n'a pas pu faire la cuisine. J'ai donné 2000 F pour compléter ses courses au marché. Il nous faut adresser ce défi de CHERETE de la VIE sans clivage politique. Il faut faire cesser le racket dans le transport sinon réorganiser avec courage ce milieu qui est une vraie gangrène dans la performance économique. Il ne faut vouloir plaire à quelqu'un car demain nous demandera des comptes,Could God help US..
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
