Côte d'Ivoire : « Alassane Ouattara, Gouverneur et Homme d'État » : un hommage cinématographique émouvant à un parcours d'exception
Dans une atmosphère empreinte d’émotion et de solennité, le Président de la République, Alassane Ouattara, a assisté ce mercredi soir à la projection en avant-première du film documentaire intitulé « Alassane OUATTARA, Gouverneur et Homme d’État », au Cinéma Majestic du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire.
Cette œuvre cinématographique retrace avec justesse le parcours exceptionnel du Président ivoirien, depuis ses premières années jusqu’à ses fonctions éminentes au Fonds Monétaire International (FMI), en passant par son rôle déterminant en tant que gouverneur de la BCEAO, poste qu’il fut le deuxième à occuper, et dont il demeure à ce jour le seul gouverneur honoraire.
Dans une allocution particulièrement marquante, Tiémoko Meyliet Koné, Vice-Président de la République, a salué la mémoire, les valeurs et les idéaux portés par Alassane Ouattara tout au long de sa carrière.
« Ce film obéit à un impératif moral : rappeler, transmettre et préserver les valeurs des bâtisseurs de l’Union Monétaire Ouest-Africaine depuis sa création en 1962 », a-t-il déclaré.
Il a rappelé les précédents documentaires réalisés autour de grandes figures de la BCEAO, notamment pour les 50 ans de l’institution, les 25 ans de la Commission bancaire, et les 30 ans du décès d’Abdoulaye Fadiga, premier gouverneur africain de la BCEAO.
Le Vice-Président a également rendu hommage à Madame Dominique Ouattara, première dame de Côte d’Ivoire, pour son témoignage tendre et précieux dans le film. Il a remercié tous les intervenants, dont Jean-Claude Brou, gouverneur actuel de la BCEAO, ainsi que d’autres figures du monde économique et monétaire international, pour leurs riches contributions.
Ce documentaire vise plus qu’une simple rétrospective : il entend transmettre aux jeunes générations un modèle de réussite, bâti sur des valeurs fondamentales telles que la solidarité, le professionnalisme, la loyauté, la responsabilité et l’intégrité.
« Le devoir de mémoire permet à nos institutions de traverser le temps en gardant leur cohérence et leur identité », a souligné le Vice-Président.
Très ému, le Président Alassane Ouattara a pris la parole pour remercier tous ceux qui ont participé à cette réalisation : « Beaucoup d’émotions. Je remercie vraiment tous ceux qui ont contribué à faire ce film. J’y ai retrouvé des personnes chères, des collaborateurs de longue date. »
Le documentaire revient notamment sur son enfance aux côtés de sa mère, son éducation, son passage aux États-Unis pour ses études, ses débuts au FMI, jusqu’aux plus hautes sphères de l’économie mondiale et de la politique ivoirienne.
À travers ce film, la BCEAO célèbre non seulement le parcours d’un homme d’État d’envergure, mais elle perpétue aussi une culture d’excellence et de service public au profit de l’union monétaire ouest-africaine et du développement économique régional.
Wassimagnon
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Mdr le devoir transcende la parole donnée…. Un peu comme Biya et Mobutu ont eu des films à leurs gloires du temps de leurs vivants mais l histoire aura vite fait de les reléguer au rang qui fut ou sera les leurs, qui parle de Mobutu aujourd’hui ? Qui parlera de Biya demain en bien ? Pas les 75% des Camerounais, encore moins 50% de la jeunesse Africaine. On pourra prendre des paris mais Laurent Gbagbo dans les mémoires Africaines sera largement au delà de cet homme qui ne restera que dans la mémoire des rattrapés.
Mesmin Konin: les personnes que tu évoques dans ton commentaire n'ont pas le même CV et bilan du Président Alassane Ouattara. Ce Monsieur en quelques années, pas même deux mandats a transformé le visage de son pays, l'a modernisé, et a entrepris de grandes réformes, mais tous les jours, il fait l'objet d'attaques, de désinformation qui en réalité n'existe que dans les phantasmes des gens qui soutiennent au quotidien des irresponsables comme Gbagbo. Un Rappel: La constante dans le parcours politique du mari de Nady bamba a toujours été la violence, le sang. On se souvient de toutes les marches que son parti organisait aux temps d’Houphouët-Boigny et de Bédié, de tout le sang qui a coulé dans ce pays au cours des élections auxquelles il a participé et durant son règne qui avait commencé dans le sang et s’était terminé dans le sang.
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