Côte d'Ivoire : Man, un braqueur armé de Kalachnikov interpellé en un temps record
Le mis en cause interpellé (Ph Koaci)
La sérénité habituelle de Man, cette ville paisible enveloppée par les montagnes et la douce brise du Tonkpi, a été brutalement perturbée le lundi 3 novembre 2025, en fin d’après-midi. Aux alentours de 18 heures, alors que la lumière du jour s’estompe lentement, un braquage d'une rare audace a eu lieu au quartier Jeune Fille. Un homme armé d’une Kalachnikov a surgi avec la violence d’une tempête, prenant en otage sa victime et emportant la coquette somme de 21 millions de francs CFA.
L’alerte donnée, la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI) de Man a immédiatement pris en charge l’affaire. Dès les premières heures, les policiers se sont activés, parcourant le quartier après quartier, interrogeant les habitants et scrutant chaque indice susceptible de mener à l’auteur de ce crime effronté. Les limiers n’ont pas tardé à recueillir les premiers témoignages et à reconstituer le parcours du braqueur.
Leur persévérance a porté ses fruits : un homme, identifié sous les initiales N.B., âgé de 41 ans, a été interpellé. Cet individu, qui se faisait passer pour un simple passant au quartier Campus, n’a pas pu échapper aux questions pressantes des enquêteurs. Rapidement, il a avoué sa participation au braquage et a révélé qu'il n'agissait pas seul. Son complice, toujours en fuite, reste introuvable à ce jour, et les recherches pour l'appréhender se poursuivent activement.
Sous la pression de la BRI et des interrogatoires menés par les hommes du Général Kouyaté, Directeur Général de la Police Nationale, N.B. a confirmé sa culpabilité sans détour. Il a été placé en garde à vue et, sur instructions du Procureur de la République près le Tribunal de Première Instance de Man, il a été déféré devant la justice pour répondre de son crime.
La traque du complice se poursuit, tandis que les autorités assurent que toutes les mesures sont prises pour garantir que justice soit rendue dans cette affaire qui a secoué la quiétude de la ville.
Jean Chresus, Abidjan
Infos à la une
oula mesmin va bientot arriver et nous dire malgré les aveux que le mogo est forcément innocent, que dans la dictature de ouattara c'est normal on tire sur les policiers alors que au cameroun en tanzanie c'est la police qui tire sur les gens mais que voulez vous ces gors sans honte ont été monté à l'envers à l'usine lol ... bravo a nos forces de l'ordres !!!
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
