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Côte d'Ivoire : L'Archevêque le Cardinal Kutwa estime que la candidature de Ouattara n'est pas nécessaire à son  humble avis
 

Côte d'Ivoire : L'Archevêque le Cardinal Kutwa estime que la candidature de Ouattara n'est pas nécessaire à son humble avis

 
 
 
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 Il y a 4 ans
 
 
 
 
 
© Koaci.com - lundi 31 août 2020 - 17:48

L’Archevêque Kutwa ce lundi à Abidjan 


L’Archevêque d’Abidjan Jean Pierre Cardinal Kutwa a animé un point de presse ce lundi 31 août 2020 à la cathédrale d’Abidjan.


Dans sa déclaration relative à la situation socio-politique qui prévaut dans le pays depuis l’annonce de la candidature d’Alassane Ouattara, il a est estimé qu’elle n’est pas nécessaire à son humble avis.


« Je ne peux pas ne pas me tourner avec respect vers le Président de la République, chef de l’Etat dont la candidature à ces prochaines élections, n’est pas nécessaire à mon humble avis. Son devoir régalien de garant de la Constitution et de l’unité nationale appelle son implication courageuse, en vue de ramener le calme dans le pays, de rassembler les ivoiriens, de prendre le temps d’organiser les élections dans un environnement pacifié par la réconciliation. Comme le dit si bien un adage de chez nous : « on ne reste pas dans les magnans pour enlever les magnans », tel est l’avis du cardinal.


Ci-dessous l’intégralité de sa déclaration qui, pour rappel, n'engage que lui et non le clérgé catholique dans son ensemble.


Dans certaines circonstances, le silence peut être synonyme de lâcheté et de complicité avec l’iniquité !


Chers compatriotes,


1. Dans la Bible, lorsque Caïn tua son frère Abel et que Dieu lui


demanda où était son frère, il répondit qu’il ne savait pas et qu’il n’était pas le gardien de son frère (Gn.4,25). Qu’ils le confessent ou non, les disciples de Caïn sont ceux qui refusent de veiller sur leurs frères, ceux qui se montrent indifférents face à la détresse ou à la souffrance d’autrui. Dans ces circonstances, le silence peut être synonyme de lâcheté et de complicité avec l’iniquité !


2. Ma présente démarche qui consiste à nous interpeller, face à la


crise que nous vivons actuellement s’inscrit dans un souci de contribuer à la recherche des voies et moyens, non seulement d’un vivre ensemble, mais d’un vivre ensemble dans l’unité. C’est bien ce que suggèrent les paroles du psalmiste quand il affirme : « qu’il est bon qu’il est doux pour des frères, de vivre ensemble et d’être unis » (Ps 133,1)


3. La vie socio-politique de notre pays aborde un virage dangereux.


Au fur et à mesure que s’approche l’échéance des élections présidentielles, force nous est donné de constater la radicalisation des positions de part et d’autre. Celles-ci se sont d’autant plus accentuées depuis la déclaration de candidature du Président de la République le 06 août 2020.


4. Certains citoyens ont pris les rues pour appeler au respect de la


 

Constitution, qui, selon eux, venait ainsi d’être violée. D’autre ont pris à contrepied ces manifestations. Cette situation a conduit à des violences inacceptables. Des citoyens d’un même pays, armés de gourdins, de pierres, de machettes et d’armes à feu, se sont livrés à des massacres d’un autre âge, causant, comme il fallait s’y attendre, des morts et d’innombrables blessés, sans compter des dégâts matériels.


5. Devant un tel spectacle désolant et déshonorant pour notre pays et


pour l’Afrique, peut-on honnêtement rester inactif et passif, pour ne pas dire indifférent? Peut-on garder le silence et laisser le présent et l’avenir de notre pays être dévorés par l’épée et le feu ? J’ai


cependant gardé un long temps de silence, dans le recueillement et la prière. Je me suis contenu dans l’espoir que la sagesse habite les uns et les autres. Mais l’allure que prennent les événements, avec les incertitudes qu’ils cachent, m’oblige à sortir de ma réserve pour ne pas être complice des graves dérapages que nous avons connus en si peu de jours, et que nous ne souhaitons pas revivre.


6. Ma responsabilité de pasteur se trouve engagée devant la nation, devant l’histoire de notre pays, devant le monde entier. Il s’impose donc à moi de dire une parole de consolation, qui en même temps, invite à la non-violence, au dialogue, au respect du droit et des lois, toutes choses sans lesquelles l’on ne peut bâtir un État moderne et paisible. On ne le dira jamais assez, il n’ya pas de paix sans justice et il n’y a pas de justice sans pardon. Voilà ce que je veux rappeler à ceux qui ont entre leurs mains le sort de nos populations, afin qu’ils se laissent toujours guider dans les choix graves et difficiles qu’ils doivent faire par la lumière du bien véritable de l’homme, dans la perspective du bien commun.


7. Le cœur meurtri de douleur, je me tourne vers les villes, les villages, les familles dont les membres ont été victimes d’atrocités. Certaines personnes ont trouvé la mort, d’autres grièvement blessés ; des biens acquis depuis de longues années ont été détruits. Je prie pour que les morts reposent en paix et que le Dieu en qui nous croyons, nous console ! Qu’il donne la guérison aux blessés et à ceux qui ont subit un traumatisme psychologique dû à l’inhumanité des actes dont ils ont été témoins ou même victimes.


8. Comment peut-on s’accommoder d’une telle tragédie, au point de ne pas s’indigner devant une violence qui a pris l’allure d’une norme ? Je ne puis me taire plus longtemps. J’en appelle solennellement à la conscience individuelle et collective afin qu’un terme soit mis à la violence et que place soit faite au dialogue.


9. La Côte d’Ivoire notre pays, est un pays de dialogue par tradition. Rappelons-le-nous ! Ne mettons pas le dialogue sous éteignoir pour emprunter des chemins qui n’honorent pas notre cher pays. Tout dialogue suppose deux individus ou des groupes d’individus. Tout dialogue implique le courage de regarder l’autre en face pour entrer en communication avec lui. L’on ne peut dialoguer sans faire un pas pour rejoindre l’autre. J’invite instamment tous les ivoiriens à renouer avec le dialogue pour que la parole, respectueuse des différences, prenne le pas sur les velléités d’embraser le pays.


Chers compatriotes,


10. Vous m’êtes témoins que je n’ai eu de cesse d’élever la voix pour nous supplier de nous accorder les uns aux autres, le pardon, chemin de réconciliation. La réconciliation est, nous le croyons tous, l’acte qui, après une crise, permet aux antagonistes de se retrouver et de repartir sur de nouvelles bases. Sans elle, aucune cohésion sociale n’est possible, puisque la rancœur, blottie dans notre subconscient, n’attend qu’une occasion pour refaire surface et briser la cohésion sociale tant recherchée.


11. Vous conviendrez avec moi qu’un environnement délétère n’augure rien de bon quant à l’organisation des élections. Comment, en effet, dans une ambiance perturbée par des récriminations et des malentendus autour des questions fondamentales, pourrait-on aller à des élections dignes de ce nom ? En vérité, la réconciliation est plus importante que les élections. Voilà pourquoi, il est totalement erroné de penser qu’il suffit d’organiser des élections, d’en déclarer un vainqueur, pour que les cœurs meurtris soient guéris et que la paix s’installe. J’ose encore une fois nous supplier : laissons-nous réconcilier les uns avec les autres ! Tout le reste ira de soi.


12. L’un des moyens pour aller à la réconciliation, est le respect des lois que l’on se donne bien plus que les élections. C’est ici que la maxime latine prend tout son sens : « Dura lex, sed lex : la loi est dure mais c’est la loi ». Cette pensée invite au respect de la loi même quand elle nous contrarie et va à rencontre de nos intérêts du moment. Des explications des rédacteurs de la Constitution ont été suffisamment abondantes et partagées avec la population. De même, des communications par l’exécutif sur les sites officiels ont été faites pour expliquer la Constitution. A notre avis, il ne devrait pas avoir de lectures différentes, sources des affrontements actuels. Malheureusement la loi fondamentale de notre pays semble nourrir les violences, en ce que des écoles d’interprétations s’opposent et influencent la population qui s’engouffre dans des actes de revendications ou contre-revendications violentes. Pour ma part je crois que de tels conflits ne devraient pas avoir leur raison d’être.


13. En tout état de cause, qu’il me soit permis d’inviter tous les ivoiriens à emprunter les chemins scientifiques pour sortir de cette crise née de la compréhension de la loi qui fonde toutes les autres. Cela ne peut se faire à coup d’invectives, de machettes et de canons. En parlant de chemins scientifiques, je fais ici référence aux intellectuels, hommes de science capables d’indépendance intellectuelle et d’exégèse méthodique des textes, et notre pays n’en manque pas, pour que la lecture de sa loi fondamentale soit livrée à des courants politiques, au point qu’elle signifie à la fois une chose et son contraire, selon l’intérêt que l’on défend. A quoi servirait une boussole qui indique un jour le Nord, et un autre jour le Sud, selon les lunettes que l’on porte ? La loi fondamentale, qui peut être regardée comme une boussole, ne peut signifier, à la fois, une chose et son contraire.


 

14. Je voudrais inviter les uns et les autres à aller au dialogue et à la concertation, dans la recherche de solutions à cette crise qui n’augure pas d’un lendemain meilleur quant à l’organisation paisible des élections. J’insiste encore une fois pour vous rappeler que le respect de la loi est plus important que les élections.


15. La loi fondamentale de la Côte d’Ivoire s’ouvre par la reconnaissance des droits, des libertés et des devoirs par l’État (Cf art 1). Quel commentaire en faire sinon que, pour le législateur, ce triptyque forme un corps dont découle tout le reste. Le droit, les libertés et devoirs sont primordiaux dans toute société moderne, et l’État de Côte d’Ivoire s’est engagé à prendre les mesures pour son application effective. Les événements de ces jours-ci laissent entrevoir que beaucoup restent à faire dans le rappel à tous des droits, des libertés et des devoirs, des individus et des collectivités. Cela ne peut se faire que loin des bruits d’intérêts électoralistes.


16. Seule la recherche du bien commun permettra à l’Etat et à ceux qui l’incarnent d’aider les citoyens à la connaissance et au respect des droits, des libertés et des devoirs de tous. Si le droit de la personne humaine, en général, et à la vie en particulier, est inviolable (Cf art 1-2), l’on ne peut le sacrifier sur l’autel des intérêts particuliers et des élections censées nous apporter la paix et le développement. Ma conviction profonde reste que le respect des lois est plus important et honore plus que la victoire à une élection.


Chers compatriotes,


17. Il est de notoriété que la force de la loi est et sera toujours à préférer à la loi de la force. Le premier est un chemin vers la paix dans le respect des droits, des libertés et des devoirs quand le second lui, est une voie qui éloigne de nous la paix et installe le désordre. Puissions-nous, dans un esprit civique et de concertation, donner à la loi toute sa force pour qu’elle nous aide à vivre dans la justice, la réconciliation et la paix, en vue d’une organisation consensuelle d’élection sans violence.


18. Je ne peux pas ne pas me tourner avec respect vers le Président de la République, chef de l’Etat dont la candidature à ces prochaines élections, n’est pas nécessaire à mon humble avis. Son devoir régalien de garant de la Constitution et de l’unité nationale appelle son implication courageuse, en vue de ramener le calme dans le pays, de rassembler les ivoiriens, de prendre le temps d’organiser les élections dans un environnement pacifié par la réconciliation. Comme le dit si bien un adage de chez nous : « on ne reste pas dans les magnans pour enlever les magnans. »


19. Je prie pour que chacun, dans l’exercice de sa responsabilité, ait la sagesse pour tout accomplir dans le strict respect des lois : que les appuis et les revendications se fassent dans le strict respect de la Constitution, particulièrement en ce qui concerne le respect du droit à la vie, droit inviolable selon notre Constitution (Cf art 3). Toute injustice sous quelque forme qu’elle se présente provoquera le désordre. Seule la justice qui reconnaît à chacun ses droits et devoirs nous apportera la paix.


Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire et nous accorde sa paix !


Donné à Abidjan, le 31 août 2020


Jean Pierre Cardinal KUTWA Archevêque d’Abidjan.




 
 
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fmk
Donc curé fait politique ?
 
 il y a 4 ans     
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LeMagotOuRien
Rires! Tu n'as rien vu encore! ..rires encore !
 
 il y a 4 ans
SRIKABLA
Dieu a TOUJOURS fait la Politique dans notre pays depuis 27 ans. ?tu as dis QUOI quand des imans ivoiriens affirmaient que c'est DIEU Allah qui a mis au pouvoir le PR DRAMANE.
 
 il y a 4 ans
LeMagotOuRien
C'est candidature de bédié qui a instauré la catégorisation des ivoiriens en stigmatisant les nordistes avec son concept d'ivoirité et qui reprend ses discours emprunts d'ethnicisme et de haine, qui est nécessaire ?..pff !! et revoilà ce cardinal qui revient à la charge pour prêter main forte au pdci-bédiéïste et à l'eds-gor qui n'arrivent pas à créer l'insurrection que henri konan bédié a appelé dans son discours de nouvel an 2019, et je cite: "..j'en appelle à un sursaut national (=soulèvement , insurrection) afin d'obtenir un gouvernement d'union (=gouvernement de crise) avant l'élection présidentielle " ..et l'église catholique annonce être solidaire de ces intentions de bédié ! Ok compris !
 
 il y a 4 ans     
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Peace101
En tant que Chrétien et observateur, je m'insurge vivement contre ces propos tendancieux d'un prélat militant encagoulé dans une soutane... Okay, qu'il nous dise, les candidatures des vieux Bédié et gbagba sont-elles nécessaires ? Quel visage hideux de ce prélat. En tant que Chrétien, je parlerai haut et fort.
 
 il y a 4 ans     
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Adokaflai
Voilà des gens qui ont horreur de la vérité. Je sais que demain des imams les mêmes inepties. C'est vous toujours qui parlez de Nordistes.
 
 il y a 4 ans
LE DEBOULONNEUR
Je mets ma main au feu que d'ici au plus une semaine, un guide religieux musulman va produire une déclaration pour subtilement répondre au cardinal. En attendant, j'adresse toutes mes félicitations au cardinal qui au moins a le mérite de ne pas se taire devant le péril vers lequel le RHDP et son président conduise la Côte d'ivoire.
 
 il y a 4 ans     
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A VRAI DIRE
ON Y VA
 
 il y a 4 ans
Ziegler
Et vlan, comme au Togo, la religion vient soutenir les opposants.
 
 il y a 4 ans     
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Zezeto
Et comme au Togo, le résultat sera contre productif
 
 il y a 4 ans
A VRAI DIRE
Qu'ils nous disent la candidature de la personne qui est nécessaire ON VA TOUS LE VOTER. Et ça se dit homme de DIEU. Continuez. Qui sème le vent récolte la tempête.
 
 il y a 4 ans     
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Joperfal
Ce journaliste qui publié cette déclaration a preuve de professionnalisme.
 
 il y a 4 ans     
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SRIKABLA
Les barons du rhdp plus leur Roi et leurs suiveurs extremistes, savent TOUS que le le PR DRAMANE ne devrait pas briguer un 3ème mandat ..mais ils ont très très PEUR de perdre le pouvoir.
 
 il y a 4 ans     
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Freeandpeace225
Merci là-bas... aucun pouvoir n’est éternel L’article 183 et l’article 55 à son alinéa 1 et ainsi que l’article 35 interdisent le guru du restaurant rhPD a se présenter, mais c’est la petite porte qui l’attend...
 
 il y a 4 ans
Zezeto
pfffff!!!!
 
 il y a 4 ans
Wence
Je ne comprend pas pourquoi les religieux chretiens aiment bien se meler de la politique depuis que Ouattara est devenu PR. Etaient-ils borgnes ou aveugles quand Bedie, Gbagbo et Guei dirigeaient ce pays de la maniere la plus calamiteuse ? Donc, c'est les defauts de Ouattara seulement que leurs yeux peuvent voir? Tchrouuuuu, occuppes toi de ton eglise et laisse les policiens dans leur politique. Aucun religieux musulman n'a besoin de le repondre pcq les musulmans respectent leur religion.
 
 il y a 4 ans     
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Khanel
l'eglise =/= politik
 
 il y a 4 ans     
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Sangys
Si on Comprend bien, c'est la candidature de Bédié à 86 ans qui est nécessaire !!! Il est trop fort cet archevêque !
 
 il y a 4 ans     
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aze
1 électeur / 1000 a cette sagesse...comment dire que la Démocratie est la solution ?
 
 il y a 4 ans     
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GUNICAO
si JAMAIS quelqu'un veut voir ce que c'est que l'hypocrisie, elle a un nom: KUTWA. Il attendait la candidature de ses "fidèles" GBAGBO, BEDIE et SORO pour qu'il vienne nous pondre ce qu'il s'est faire le mieux. ce Monsieur n'a RIEN AVOIR AVEC LE CHRIST. ce n'est pas un serviteur du SEIGNEUR JESUS. C'EST UN VRAI POLITICIEN HAINEUX. Il n'a pas digéré l'arrivée de OUATTARA au pouvoir. Cela se voit a chacune de ses prises de parole. Donc BEDIE, SORO et GBAGBO peuvent être candidat SAUF OUATTARA. c'est un vrai SORCIER. Il mourra de sa haine.
 
 il y a 4 ans     
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Zezeto
Laisse ce tocard...comme si c'ést la candidature de bédie qui est nécessaire...lui même n'est plus nécessaire pour l'Eglise
 
 il y a 4 ans
Unbreakable
M le Cardinal en 2010 lorsque Gbagbo avait confisqué le pouvoir quel était votre position ? Excepté vos pairs de Korhogo et de Daloa si mes souvenirs sont bons qui ont publiquement demandé le départ du dictateur vous avez eu une position d'équilibriste lors de votre homélie du 24 Décembre demandant que les deux protagonistes trouvent une entente divine. Aujourd'hui nous sommes à un autre tournant j'aurais bien voulu que vous ayez cette même position d'équilibriste que de prendre parti publiquement. Dieu merci que votre position n'est pas celle de l'église monsieur le pro Gbagbo
 
 il y a 4 ans     
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Konnin
Encore toi ? Prétendant délivrer un message de sagesse et des conseils, tu exposes ton parti pris et ta haine envers un candidat. Après l'épisode d'Agré, celui qui a livré Guéi à la soldatesque de Gbagbo, c'est maintenant toi le plus commun diviseur des Ivoiriens. De toute façon, nous sommes tous dans ce pays.
 
 il y a 4 ans     
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Zezeto
Djo ici on est dans la politique, pas à l'église...mais parle...on ne te fera rien nous.
 
 il y a 4 ans     
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KROPEDALE
La seule candidature qui viole la constitution est celle de Dramane. L'imam Aguib en dénonçant la même candidature n'a pas fait de politique non plus. Si les militants du RDR momifiés avec plus de couilles et d'honneur que d'envie de remplir leur panses inutiles, ils seraient les premiers à interpeller Wattra sur sur le non respect de lui même sa constitution et de ses propres engagements. Comment espérer qu'une personne qui change de nationalité comme de prénoms, puisse respecter le résultats d'une élection après avoir renié sa propre constitution et sa propre parole. Un authentique nordiste cesserait d'emblée tout crédit à un tel bonzhomme qui n'a ni foi ni loi. Il mets à mal tous ses collaborateurs qui ont parlé pour lui en terme de homme de parole, c'est plutôt homme flarole. Gbach. On s'en fout de.... Un tel type ne mérite plus d'être notre président à moins kil rende les 1700 milliards de dettes kil a déposé sur nos têtes.
 
 il y a 4 ans     
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A VRAI DIRE
Je demande au soi disant cardinal de nous dire la candidature qui est NÉCESSAIRE comme il est habité par le saint esprit. Comment peut on être saint quand on aime faire l'amour à des enfants ?
 
 il y a 4 ans     
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Gougnon
Merci au Cardinal et à L'imam Aguib!!!!. Ce sont là de vrais hommes de Dieu qui aime leur prochain. Chers adomoutons, sachez que lorsqu'on aime une personne on lui doit la vérité et non le louvoiement. Quant on vous demande de citer un article de la constitution qui permet à dramane d'être candidat, vous répondez comme bictogo "compteur à zéro puisque 1er mandat de la 3eme République". Cette réponse n'est pas un article de la constitution. Mais pire, la référence en droit chez les rodoros aujourd'hui c'est bictogo qui s'est permis de corriger bacongo???. Donc souffrez que ceux qui aiment vraiment dramane, ces hommes de dieu, lui disent la vérité que vous ne pouvez lui dire et pour cause !!!!. Mieux le cardinal invite dramane a sortir par la grande porte !!!!. Comme le dit mon Pr, le temps est un autre nom de dieu, alors restons sereins et regardons seulement !!!!!.
 
 il y a 4 ans     
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ROKY
C'est un partisan de Gbagbo, c'est connu de tous. Ca n'engage que lui en tout cas. Au Togo Église a parlé jusqu'à et Faure est là, pareil en RDC et j'en passe.
 
 il y a 4 ans     
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Peace101
La foire pleine de militants et clowns de la secte du minable gbagba toujours aussi émotionnels. Comment des personnes dotées d'une moindre dose d'impartialité peuvent-elles accorder de la voix à de tels propos d'un militant opposant en robe église ? Si ce militant opposant jouant au cardinal avait fustiger les 3 (Ouattara, Bédié, et l'autre machin exilé) on aurait compris. Mais, il parle de "nécessaire" alors que les deux autres vieux aussi veulent devenir président. En quoi sont-ils nécessaires ? Non, les candidatures de ces 3 ne sont pas nécessaires. Pas juste une seule. Mais bon on se rappelle c'est le même prélat opposant caché derrière une robe qui y'a quelques mois accusait encore le président sortant... Je ne suis qu'un simple observateur Chrétien... Enough... Que ce prélat militant laisse l'Église en dehors de ça...
 
 il y a 4 ans     
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