Du 14 au 16 décembre 2025, la circonscription électorale 098 du Hambol a vibré au rythme d’une mobilisation exceptionnelle en faveur du Vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné (TMK). À quelques jours de l’ouverture officielle de la campagne des élections législatives, les populations de Tafiré, Badikaha et Niédiékaha ont donné un signal politique fort : l’adhésion populaire est massive, structurée et assumée.

Plus qu’une simple pré-campagne, cette tournée s’est apparentée à une démonstration de force politique et sociale, traduisant une union quasi totale autour de celui que les habitants considèrent comme leur « fils » et un acteur clé du développement national. Dans les localités visitées, le message est resté constant : le choix en faveur de Tiémoko Meyliet Koné relève à la fois du cœur et de la raison.

Sur le terrain, la mobilisation a été portée par une organisation méthodique. Sous la houlette de Charles Sanga, maire de Tafiré et directeur de campagne, la stratégie dite du « Tafiré Kelen » (Tafiré Unie) a pris toute sa dimension. Le principe est clair : pendant que le Vice-Président assume ses responsabilités au sommet de l’État, les cadres et élus locaux deviennent ses relais naturels auprès des populations.

De la zone industrielle de la SUCAF aux villages de Niédiékaha, les messages relayés par les responsables politiques et communautaires ont insisté sur un point central : Tiémoko Meyliet Koné ne cherche pas une promotion politique, mais un mandat de proximité pour accélérer le développement de sa région natale. « Il ne cherche pas un poste, il est déjà au sommet. Il veut relier directement notre territoire au cœur de la décision publique », a résumé Moussa Diarra, cadre local et porte-voix de la mobilisation.

L’un des temps forts de cette tournée a été la mise en avant des réalisations déjà visibles dans le Hambol. Routes bitumées à Tafiré, transformation du centre de santé en hôpital général, électrification rurale : autant de projets concrets régulièrement cités par les intervenants.

Pour Mamadou Coulibaly, leader de la jeunesse locale, le message est limpide : « Nous ne votons pas pour des promesses, mais pour ce que nous voyons. Les jeunes voient le goudron, les femmes voient les ambulances. Cela nous donne confiance pour l’avenir. » Un discours largement repris par les populations, sensibles à une approche axée sur les résultats.

Cette mobilisation a également consacré l’adhésion totale au ticket TMK-Karim Ouattara (KO). Suppléant du Vice-Président et directeur général du BURIDA, Karim Ouattara s’est illustré par son dynamisme et sa proximité avec les populations. Loin d’un rôle secondaire, il s’est imposé comme un véritable chef d’orchestre de terrain.

« Le Vice-Président est une institution, un bien commun. Nous sommes ses émissaires. Il est proche de vous par ses actes, et nous serons présents au quotidien pour veiller à la mise en œuvre de sa vision », a-t-il déclaré, renforçant l’image d’un binôme équilibré entre expérience et engagement de terrain.

De la SUCAF au centre culturel de Tafiré, devenu trop étroit pour contenir l’affluence, l’ambiance était à la ferveur populaire. Assétou Camara, porte-parole des femmes de la SUCAF, a promis une mobilisation totale le jour du scrutin, tandis que Kalfa Arsène Coulibaly, à Niédiékaha, a fixé un objectif ambitieux : « Zéro bulletin nul. Nous voulons un score sans équivoque. »

À l’approche de l’ouverture officielle de la campagne, prévue le 19 décembre, tous les indicateurs semblent favorables. Dans le Hambol, la machine politique est en ordre de marche, portée par un sentiment de reconnaissance et de fortes attentes. Le scrutin du 27 décembre 2025 s’annonce ainsi comme un véritable test de popularité, avec l’ambition affichée de transformer l’élection législative en un plébiscite en faveur de Tiémoko Meyliet Koné.

Wassimagnon