Daouda Coulibaly (Ph KOACI)

Les jeunes proches de Guillaume Soro réfutent  toute qualification de déstabilisateurs qui est collée à la peau depuis le retour manqué de leur leader au pays.

Convaincus d’être des démocrates, ils annoncent une rencontre avec les jeunes des partis politiques, les chefs traditionnels, les Ambassades, les guides religieux, les institutions et la société civile afin de parler de paix et de réconciliation nationale.

« Loin d'une compromission, Ou de négociation, nous souhaitons à travers ces rencontres , ouvrir le champ politique et participer au débat politique. Mais plus loin une élection inclusive et démocratique », a confié Daouda  Coulibaly, président de la Jeunesse Kigbafori Soro, initiateur du projet.

 C’est dont équipe d'une dizaine de jeunes Soroïste tous respectivement leader de leur mouvement qui s'activent avec pour chef de délégation le nommé si haut pour l'animation des différentes bases et continuer l'installation des comités locaux du Groupement Générations Solidaires (GPS).

« Il s'agira pour nous jeunes d'engager des rencontres avec toutes les équipes de jeunesse des différents partis politiques et la société civile. Des échanges avec les rois et chefs traditionnels, les guides religieux, mais également les institutions et les Ambassades », a-t-il poursuivi. « Ce processus s'inscrit dans la dynamique et la vision politique de notre mentor Guillaume Soro. Il prône la réconciliation et la paix depuis plusieurs années. Le slogan de notre mouvement citoyen et politique GPS est peuples Unis peuples forts. Nous sommes jeunes et les différents discours des leaders politiques montrent la place de la jeunesse dans la construction d'une Nation forte. C'est pourquoi cette initiative qui vient de nous-même sera d'être des artisans de la côte d'ivoire rassemblée et Unie mais plus loin consolider et renforcer cette jeune démocratie acquise au prix de grande douleur. »

 Pour M. Coulibaly, et loin d'une quelconque négociation les partisans de Soro veulent que le champ politique s'ouvre à tous.

« Le débat soit ouvert mais surtout une élection présidentielle inclusive et démocratique. Que notre mentor revienne pour jouer pleinement sa partition », a-t-il conclu.

Donatien Kautcha, Abidjan