Photo de famille de l'URD (ph KOACI)

Débuté le 31 juillet 2020, le premier congrès ordinaire de l'Union républicaine pour la démocratie (URD) a pris fin aujourd'hui.

Fait notable, Akissi Danielle Boni Claverie a été réélue présidente de cette formation politique par les congressistes pour un mandat de 5 ans, qui l'ont sollicité d'être candidate à l'élection présidentielle d'octobre 2020.

Tout en acceptant la sollicitation des coordinateurs et secrétaires de sections Danielle Boni a pris l'engagement de se battre.

"Je ne saurai me dérober face à ce nouveau combat difficile. Vous pouvez compter sur moi. Vous me propulsez dans la cour des grands où j'apparais comme un petit poussé," a-t-elle déclaré.

La candidate de l'URD s'est également engagée à traquer la corruption. 

Par ailleurs, selon elle, le régionalisme et l'appartenance ethnique doivent s'effacer pour faire face à la compétence.

Danielle Boni Claverie a dénoncé le fonctionnement de la justice est "malade" et a habitué les Ivoiriens à des abus d'autorités.

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Abordant le volet de la santé, elle a affirmé que malgré des annonces triomphantes, les plateaux techniques ne sont pas aux normes.

Akissi Danielle Boni Claverie a assuré les ivoiriens que son parti n'est animé d'aucun esprit de revanche ou de vengeance.

Son souhait est de ressusciter la Côte d'Ivoire et mettre la locomotive sur les rails s'il accède au pouvoir.

Juste après sa réélection en tant que présidente de l'URD, Danielle Boni Claverie a désigné comme Secrétaire général, Ehouman Gilbert, pour l'accompagner dans sa mission.

Plusieurs partis "frères" sont venus soutenir l'URD à l'occasion de ce premier congrès ainsi que la Société civile.

Leurs représentants ont exprimé leur reconnaissance à la présidente de l'URD pour son combat.

Wassimagnon