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Afrique
Côte d'Ivoire : Aly Touré, Président du Conseil de l'OIAC, condamné en Angleterre dans une affaire de harcèlement sexuel
La presse anglaise rapporte que le Président du Conseil de l'Organisation interafricaine du Café (OIAC) a été condamné par un tribunal londonien pour harcèlement sexuel sur une employée de l'Ambassade de Côte d'Ivoire en Angleterre.
Selon le "Daily Télégraph", dans son édition du 6 Novembre dernier, Aly Touré a été condamné à payer 100 000 livres sterling, soit l'équivalent de 75 millions de Fcfa, à Solange Koffi, la victime âgée de 48 ans, qui avait porté plainte après, selon elle, avoir été licenciée suite à un refus de coucher avec lui.
Nos confrères rapportent que la justice anglaise a expliqué qu'Aly Touré a harcelé un an durant Solange Koffi.
Elle avait indiqué lors d'une audition au tribunal du travail qui a jugé l'affaire, avoir en janvier 2020 été prévenue qu'elle serait renvoyée par ce qu'elle ne voulait pas coucher avec lui.
Akissi Kouamé
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Et je vous parie qu'il ne sera pas démis de ses fonctions.
C'est inadmissible ça. C'est forcer maintenant de faire la chose là? Ayiiiiiiiiiii, si tu rentres dans son feeling, ça passe comme lettre à la poste. Si c'est boubou, ça reste boubou, même si tu menaces. Le pauvre Aly, l'apprendra à ses dépens.
En tant quobservateur, je dis que c'est honteux ça... Sa tutelle soit le sanctionner car ça déshonore notre pays et ses hautes fonctions... Inacceptable...
Ça se passe à l'embassade de Cote d'Ivoire, et pourquoi la justice d'Angleterre est saisie !?
Elle a porté plainte au civil... Devant le tribunal du travail...
Avant qu'il ne soit proposé par dramane ouattara à la tête de la présidence de l'OIAC, ce malade sexuel était le porte-parole de la plateforme politique proche du RHDP, « La Convergence 2020 » devenue par la suite un mouvement politique en « Côte d’Ivoire vision »... Voila ce qu'est de nommer ce prédateur sexuel à la tête d'une telle tinstitution, à nous mettre la honte. Et dire que ce pitre qualifiait certains politiques de «ne pas être assez responsable» lors d'une conférence animé en février à Paris. Hélas pour ce prédateur sexuel, nous ne sommes pas en CI où le harcèlement sexuel (au travail) condamné par le code du travail aurait été étouffé par la justice.
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