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Côte d'Ivoire : Après le décès de son mari, une veuve porte des accusations et cite une téléphonie mobile « mon mari a trouvé la mort dans les locaux d'Orange Côte d'Ivoire »
 

Côte d'Ivoire : Après le décès de son mari, une veuve porte des accusations et cite une téléphonie mobile « mon mari a trouvé la mort dans les locaux d'Orange Côte d'Ivoire »

 
 
 
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© Koaci.com - vendredi 08 juillet 2022 - 09:38

le défunt Max Godo  

 

Madame Godo, veuve depuis deux ans, a porté des accusations graves, citant une téléphonie mobile de la place.

 

Deux ans après le décès dans des circonstances qu’elle juge floues, la veuve a, dans une correspondance publiée sur Internet, révélé que son mari serait décédé dans les locaux de la société de téléphonie mobile Orange Côte d’Ivoire.

 

Max Gogo, mari de la veuve, était Ingénieur informaticien administrateur de base de données. Selon les explications de la veuve, son mari fut débauché par la société Orange Côte d’Ivoire en 2020 et a commencé à travailler dans cette entreprise le 15 mai de cette même année.

 

Sauf que dans le récit de madame Max Godo, le 24 juin 2020, son mari s’est rendu comme à son habitude, vêtu d'un costume à son lieu de service situé à Marcory zone 4 et depuis cette date, il a cessé de donner de ses nouvelles.

 

Inquiète, elle décide d’alerter ses proches et c’est le lendemain le 25 juin 2020 qu’elle fut informée du fait que son mari a été retrouvé mort et que le corps se retrouvait à IVOSEP.

 

La veuve Godo révèle dans son récit que ce sont les versions contradictoires du patron de son époux et ceux d’un agent de la police judiciaire qui l’ont poussé à pousser mener des investigations sur les réelles causes du décès de son époux.

 

Alors que le patron de Max Godo affirme que son ex-employé a trébuché, l’agent de police lui soutenait que le mari est mort de crise diabétique.

 

Pire, cette dame affirme que le lieutenant qui l’a reçue, a tenté de l’obliger, contre sa volonté, lors de l’audition, à lui faire signer un procès-verbal dans lequel elle devait reconnaître que son mari est mort suite à une crise de diabète.

 

« Je lui réponds que je ne peux signer un document totalement falsifié et que jamais je ne le ferai donc qu'il m'enferme. Après de longues minutes et face à mon refus et surtout ma colère, le lieutenant finit par comprendre que je n'ai rien à craindre de ses menaces et là tout va s’éclairer. Alors le lieutenant sort son portable et me montre une photo du corps inerte de mon mari. Je venais de voir mon mari dans son bureau la tête dans du sang. Alors après avoir vu cette image, j’ai compris que mon mari n'est pas mort de façon naturelle. D'une mort naturelle annoncée par le légiste, comment la tête de mon mari peut être aussi ensanglantée ? Qu'est-ce que mon mari a pu voir et qu'il n'aurait pas dû ? », sont autant de question que madame Godo se posent.

 

Seule une enquête sérieuse pourrait établir les véritables causes du décès de l’époux de celle qui semble pointer son doigt accusateur sur la maison de téléphonie mobile Orange Côte d’Ivoire.

 

Par ailleurs, face aux accusations de la veuve, la maison de téléphonie mobile Orange sortira-t-elle de sa réserve pour donner sa version des faits ?

 

À suivre.

 

 

Jean Chrésus, Abidjan 


 
 
 
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