

Côte d'Ivoire: Présidentielle 2025, le pays décline-t-il l'aide de l'ONU et de l'UE ? Le gouvernement temporise
Alors que plusieurs médias évoquent un refus de la Côte d'Ivoire d’un financement de 12 millions d’euros proposé par l’Organisation des Nations unies (ONU) et l’Union européenne (UE) pour l’organisation de la prochaine élection présidentielle, le gouvernement ivoirien reste prudent dans sa communication officielle.
Interrogé sur le sujet ce mercredi 7 mai, à l'issue d’un conseil des ministres, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, a indiqué qu’il revenait à la Commission électorale indépendante (CEI) de se prononcer sur la question.
« C'est peut-être à la commission électorale qu'il faudra poser cette question. J'ai vu l'information dans la presse », a-t-il déclaré, prenant soin de ne ni confirmer ni infirmer le refus rapporté.
Toutefois, le ministre a insisté sur la capacité de l’État à organiser de manière autonome le scrutin à venir.
« Ce que je peux dire, c'est que l'État s'est organisé pour faire en sorte que ces élections se tiennent. L'État s'est donné tous les moyens pour que ces élections puissent avoir lieu », a-t-il assuré, laissant entendre que le pays n’est pas dépendant de financements extérieurs pour garantir le bon déroulement du processus électoral.
Quant à l’éventualité de refuser une aide internationale, Amadou Coulibaly a été clair : « Si une aide extérieure venait, pourquoi l’accepter si on a déjà tout prévu ? »
Cette déclaration souligne la volonté de l’exécutif ivoirien d’afficher sa souveraineté et sa préparation en amont du scrutin présidentiel prévu pour octobre 2025. En attendant une clarification officielle de la part de la CEI, les interrogations demeurent sur l’existence et les conditions d’un éventuel soutien proposé par les partenaires internationaux.
Wassimagnon

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La Cote d'Ivoire de Ouattara refuse les financements extérieurs parce qu'elle ne veut pas d'observateurs crédibles pour une élection gagnée d'avance.


-Voilà des gens qui nous disaient qu'en 2010, la "certification" de l'Onu était supérieure à la décision du conseil constitutionnel ivoirien. Curieusement, le mythomane reconnu par la communauté dite internationale ne veut plus de certification, ni du financement de cette même organisation. -Quand il s'agit de courir pour aller chercher CRÉDITS à gauche à droite pour combler ses déficits budgétaires, alors là, il connaît la route qui mène vers la "communauté internationale"...pfff !! -Dramane, quoi que tu fasses, tu partiras cette fois-ci...Tchôkô Tchôkô !!

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