Fleur Aké M'bo recevant son diplôme des mains de Thomas Mosch, président de ladite communauté (Ph KOACI) 

La célébration du deuxième anniversaire de la Communauté « Et si on en parlait »  au centre de recherches et actions pour la paix (CERAP) à Abidjan, le samedi 19 novembre dernier, a servi de tremplin à Fleur Aké M’Bo Esther(FAME), secrétaire nationale technique chargée de la Jeunesse, de l'Emploi et du Service civique du PPA-CI, pour appeler les jeunes à être des exemples de modèles dans la vie. 

Autour du thème « Contribution des jeunes à la consolidation de la paix et la cohésion sociale en Côte d'Ivoire » s'est bâti un panel qui s'est voulu un appui aux efforts de paix engagés par la société civile et les politiques.

 Panéliste, Fleur Aké M'Bo Esther a exhorté les jeunes à s'inscrire dans la dynamique de la paix et à être également des exemples de modèles s’ils veulent entamer une carrière politique. 

« Jeunes, agissons avec civisme et engagement pour être des exemples de modèles pour les plus jeunes que nous mais aussi pour montrer qu'être jeune ne rime absolument pas avec violence » a-t-elle fait savoir. 

Samedi 19 novembre 2022, jour choisi par Coulibaly Kuibiert Ibrahim, président central de la Commission électorale indépendante (CEI), pour le lancement de la révision nationale de la liste électorale (RNLE) à Agboville, Fleur Aké M'bo a, par ailleurs, saisi cette opportunité pour inviter les jeunes à se rendre dans les centres d'enrôlement de la CEI pour s'assurer qu'ils sont effectivement inscrits sur les listes électorales ou pour s'inscrire pour les nouveaux majeurs.

 « Il faut vous rendre massivement dans les centres d'enrôlement pour vous inscrire ou vérifier votre inscription sur le listing électoral car le vote est un droit qui contribue à la paix et au changement », a lancé l’adversaire d’Adama Bictogo aux dernières législatives.

 Au terme de ladite cérémonie, un diplôme lui a été décernée par M. Thomas Mosch , Président de la communauté, pour sa contribution dans le cadre du projet « Côte d’Ivoire : Et si on en parlait. »

Donatien Kautcha, Abidjan