Côte d'Ivoire : Désigné pour succéder à Affi aux législatives à Bongouanou, Diby Kokora convoqué à la gendarmerie pour être entendu
Diby Kokora, vice président du FPI
Diby Kokora Bernard, vice-président du Front Populaire Ivoirien (FPI) et désigné pour représenter le parti lors des prochaines législatives du 27 décembre, a été convoqué à la brigade de gendarmerie de Bongouanou le vendredi 7 novembre 2025.
La convocation, signée par le commandant de brigade, ne donne pas de précisions sur les faits reprochés au responsable politique, mais indique qu’il est invité à se présenter dans le cadre d’une « affaire le concernant ». Cette situation intervient dans un contexte tendu, alors que le FPI se prépare à participer à des élections législatives, et que Bongouanou est une circonscription clé pour le parti.
Bien que la nature exacte des accusations soit pour l’instant inconnue, cette convocation est survenue après la désignation de M. Diby Kokora Bernard par le président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, pour représenter le parti dans la circonscription de Bongouanou.
L’entourage de M. Diby Kokora Bernard a réagi rapidement en assurant qu’il se rendrait aux autorités comme prévu et qu’il se tiendrait à la disposition des gendarmes pour toute investigation. Toutefois, aucune déclaration officielle n’a été faite par la direction du FPI à ce sujet. Le parti, qui se prépare activement pour les élections à venir, insiste sur l’importance de garantir un processus électoral juste et transparent à l’échelle nationale.
Cependant, l’affaire prend une nouvelle tournure avec des informations suggérant que cette convocation pourrait être liée à des événements violents survenus à Nguessankro, une autre localité du Moronou. En octobre 2025, durant la campagne pour l’élection présidentielle, des violences avaient éclaté dans cette région, avec des urnes détruites, un poste de gendarmerie saccagé et plusieurs gendarmes retenus en otage. Plusieurs jeunes arrêtés après ces violences ont, selon des sources, formellement impliqué M. Diby Kokora Bernard dans la coordination et le financement des actes de violence.
Les autorités attendent des éclaircissements sur cette affaire dans les prochains jours, tandis que l’opinion publique reste sur ses gardes, soucieuse des répercussions politiques de ces événements dans le cadre des élections législatives imminentes.
Jean Chresus, Abidjan
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on veut des informations si les jeunes de la region l'ont pointé du doigt , y'a jamais de fumée sans feu... ce qui est certain nous ado on demande la justice fini les salamaleks ca joue plus maintenant . vous croyez on a le temps de jouer avec vous tchrrrrrrrrrrrrr
Ils y mettent tous les moyens idoines pour arrêter des opposants, alors que Bob le mannequin qui a avoué avoir participé au génocide des wê (spécialiste en coupure des tendons) à été accueilli en héro par le rdr, et est reparti tranquille en France. Pire, dans une vidéo devenue virale sur le net, un quidam à avoué avoir participé à l'assassinat de 5 personnes à Nahio, et même brûlé l'un d'entre eux. Mais curieusement, ces 2 criminels sont sont en liberté. Deux poids deux mesures. C'est ça la justice équitable sous le dictateur.
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