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Côte d'ivoire : Université de Cocody, la coalition pro-Gbagbo EDS exige la libération immédiate et sans condition des enseignants arrêtés
© Koaci.com - vendredi 22 février 2019 - 09:43© koaci.com – Vendredi 22 Février 2019 -La vie sociale ivoirienne est rythmée par l’arrestation des enseignants de l’Université que Johnson Kouassi Zamina et Dade Joël.
Face à cette situation la coalition proche de Laurent Gbagbo, Ensemble pour a Démocratie et la Souveraineté (EDS) , tout en revenant sur les mesures prises par le conseil de l’université (Ndlr 4 radiés et 7 suspendus pour des durées allant d’un an à six mois, sans soldes), élève une vive protestation contre la posture qui vise à opposer la violence aux revendications de ceux qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail.
« Considérant que les mesures et décisions prises par le dernier Conseil de l’université constituent une entrave à la liberté syndicale ; Attendu que cette double arrestation n’est pas de nature à apaiser le climat social, loin s’en faut ; Exige la libération immédiate et sans condition des enseignants arrêtés ;Appelle les autorités universitaires à mettre fin à ce qui s’apparente ni plus ni moins à une chasse aux sorcières ; Invite le gouvernement à privilégier encore et toujours le dialogue constructif comme voie de résolution des conflits quels qu’ils soient et d’où qu’ils proviennent ; Réaffirme sa solidarité et son soutien aux enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire », a indiqué la plateforme dans une note transmise à KOACI et signée de son président , le Professeur, Georges-Armand Ouégnin.
Donatien Kautcha, Abidjan
Face à cette situation la coalition proche de Laurent Gbagbo, Ensemble pour a Démocratie et la Souveraineté (EDS) , tout en revenant sur les mesures prises par le conseil de l’université (Ndlr 4 radiés et 7 suspendus pour des durées allant d’un an à six mois, sans soldes), élève une vive protestation contre la posture qui vise à opposer la violence aux revendications de ceux qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail.
« Considérant que les mesures et décisions prises par le dernier Conseil de l’université constituent une entrave à la liberté syndicale ; Attendu que cette double arrestation n’est pas de nature à apaiser le climat social, loin s’en faut ; Exige la libération immédiate et sans condition des enseignants arrêtés ;Appelle les autorités universitaires à mettre fin à ce qui s’apparente ni plus ni moins à une chasse aux sorcières ; Invite le gouvernement à privilégier encore et toujours le dialogue constructif comme voie de résolution des conflits quels qu’ils soient et d’où qu’ils proviennent ; Réaffirme sa solidarité et son soutien aux enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire », a indiqué la plateforme dans une note transmise à KOACI et signée de son président , le Professeur, Georges-Armand Ouégnin.
Donatien Kautcha, Abidjan
Par Koaci
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10 Commentaire(s)
Côte d'ivoire : Université de Cocody, la coalition pro-Gbagbo EDS exige la libération immédiate et sans condition des enseignants arrêtés
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jordanchoco2020
le sans conditions c'est parce que vous savez qu'ils ont fait qlq choses on avance c'est bien encouragez les a tout casser a commencer par vos maisons hein tchrrrrr
le sans conditions c'est parce que vous savez qu'ils ont fait qlq choses on avance c'est bien encouragez les a tout casser a commencer par vos maisons hein tchrrrrr
il y a 5 ans
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lbombardier72@gmail.com
Vraiment c'est le monde à l'envers ! Des gens qui ont semés le bordel dans ce pays osent aussi parler ? Ah wey, pas du tout surprenant que cette bande d'irresponsables, opportunistes et fauteurs de merde Eds Fpi gor cautionnement la violence de ces soi-disants syndicalistes qui pour la plupart sont membres de leur partis. Déboussolés et désespérés dans l'atteinte de leur but politique et voyant qu'ils ne peuvent plus jamais prospérer dans leurs sales besognes désormais proscrites par des hommes sérieux attachés à la bonne gouvernance, ils n'ont que ces voies et moyens pour freiner le bon fonctionnement de l'administration, notamment le secteur de l'Education. Faisant croire qu'ils sont injustement arrêtés, ils n'osent pas expliquer leur médiocrité et mauvaise éducation à la face du monde. je voilà ce qu'ils ont fait: La présente note est faite pour rétablir les faits. Le lundi, 17 décembre 2018, le Comité de Direction de l’UFHB tenait sa réunion hebdomadaire, quand un groupe d’enseignants, au nombre de huit (08), après avoir obstrué la voie d’accès à la Présidence avec leurs véhicules, a fait irruption au Secrétariat du Président pour exiger une rencontre avec celui-ci, sans délai et sans avoir pris, au préalable, un rendez-vous. Ce groupe d’enseignants surexcités est entré avec violence dans la salle de réunion pour interrompre la réunion en cours. En lieu et place de l’objet de leur visite, qui n’a pas été révélé, ces enseignants ont plutôt proféré des menaces à l’encontre du Président et de ses collaborateurs. Puis, ils se sont retirés, en affirmant que le message est passé et en promettant de revenir. Le Comité de Direction, qui a jugé inadmissible et intolérable une telle attitude, a adressé une demande d’explication à chaque enseignant. Celle-ci est restée sans suite. Face à cette défiance de l’autorité, un Conseil extraordinaire de l’Université, qui s’est mué en Conseil de Discipline, a été convoqué le mardi, 15 janvier 2019, pour entendre lesdits enseignants. Ce Conseil n’a pas pu aller à son terme. Le Secrétaire général de la CNEC, en l’occurrence Johnson Kouassi Zamina, ayant endossé la responsabilité des actes commis par les mis en cause, a empêché le déroulement du Conseil de Discipline. En effet, la parole lui ayant été refusée, en sa qualité de membre observateur, conformément aux textes en vigueur, lui et le groupe des mis en cause sont entrés dans une grande colère et ont perpétré des actes d’une rare violence, notamment en saccageant le matériel installé pour la pause-café et en séquestrant tous les membres du Conseil pendant une demi-heure. Cette séquestration a été accompagnée de propos discourtois, de menaces de mort et de menaces de perturbations de toutes les activités académiques sur le campus. Le Conseil a jugé inqualifiables et inacceptables de tels actes de la part des mis en cause et du Secrétaire général, porte-parole de la CNEC. À cet effet, le Conseil a condamné, avec la dernière énergie, ces nouveaux actes de violence et a exigé des sanctions disciplinaires exemplaires à l’encontre des fautifs. Il a également décidé d’ester en justice pour les actes de vandalisme, les menaces de mort et du renvoi de la session du Conseil interrompue, à une date ultérieure. La Conférence des Présidents des Universités et Grandes Écoles Publiques de Côte d’Ivoire s’est également réunie pour condamner ces actes et exiger aussi des sanctions disciplinaires exemplaires à l’encontre des fautifs. Le Conseil de Discipline, qui a été interrompu le 15 janvier 2019, s’est finalement tenu, le 29 janvier 2019. Les mis en cause se sont fait assister de Me GOBA, Avocat à la Cour. À l’issue de leur audition pour les faits du 17 décembre 2018, de la plaidoirie de leur avocat et de la délibération, deux(02) enseignants ont été suspendus de toutes activités académiques pour une période d’un an, avec interdiction de présence sur les campus, pendant toute la durée de cette suspension. Il s’agit de Monsieur Dagbé Ahodan Stéphane, Maître-Assistant en Criminologie et de Monsieur Kouadio Amani Augustin, Maître-Assistant en Sociologie. Six (06) autres ont été blà¢més. Ce sont : -M. Brou Kamenan Marcel, Assistant en géographie ; -M. Dakon N’da Joseph, Maître-Assistant en Criminologie ; -M. Kouamé Atta, Maître de Conférences en Anthropologie ; -M. Kouassi Kouakou Firmin, Maître-Assistant en anthropologie ; -M. Kpatta N’cho Jérôme, Maître-Assistant en Anthropologie ; -M. Zamblé Bi Zou Ambroise, Maître-Assistant en Sociologie. Conformément aux textes en vigueur, les huit (08) enseignants peuvent faire appel des décisions susmentionnées auprès du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Face à ces sanctions infligées par le Conseil de Discipline à des enseignants considérés comme tels et non comme des militants d’un syndicat, la CNEC a porté le conflit sur un terrain purement syndical et a opté pour la désinformation et la défiance à outrance des autorités universitaires, en se répandant dans les journaux et dans les réseaux sociaux. Le Conseil syndical de la CNEC, qui est l’instance au-dessus du bureau Exécutif National dudit syndicat, a même désavoué cette voie. Réuni en session extraordinaire, élargie aux membres fondateurs, le samedi, 26 janvier 2019, ce Conseil a décidé de suspendre toutes les activités du Bureau Exécutif National et celles des Sections de l’UFHB, jusqu’à nouvel ordre. Par ailleurs, il a recommandé aux responsables syndicaux incriminés de s’abstenir de toute action de nature à compromettre le dénouement heureux de cette crise. Le Président de l’Université Félix Houphouët-Boigny Prof. Abou KARAMOKO
Vraiment c'est le monde à l'envers ! Des gens qui ont semés le bordel dans ce pays osent aussi parler ? Ah wey, pas du tout surprenant que cette bande d'irresponsables, opportunistes et fauteurs de merde Eds Fpi gor cautionnement la violence de ces soi-disants syndicalistes qui pour la plupart sont membres de leur partis. Déboussolés et désespérés dans l'atteinte de leur but politique et voyant qu'ils ne peuvent plus jamais prospérer dans leurs sales besognes désormais proscrites par des hommes sérieux attachés à la bonne gouvernance, ils n'ont que ces voies et moyens pour freiner le bon fonctionnement de l'administration, notamment le secteur de l'Education. Faisant croire qu'ils sont injustement arrêtés, ils n'osent pas expliquer leur médiocrité et mauvaise éducation à la face du monde. je voilà ce qu'ils ont fait: La présente note est faite pour rétablir les faits. Le lundi, 17 décembre 2018, le Comité de Direction de l’UFHB tenait sa réunion hebdomadaire, quand un groupe d’enseignants, au nombre de huit (08), après avoir obstrué la voie d’accès à la Présidence avec leurs véhicules, a fait irruption au Secrétariat du Président pour exiger une rencontre avec celui-ci, sans délai et sans avoir pris, au préalable, un rendez-vous. Ce groupe d’enseignants surexcités est entré avec violence dans la salle de réunion pour interrompre la réunion en cours. En lieu et place de l’objet de leur visite, qui n’a pas été révélé, ces enseignants ont plutôt proféré des menaces à l’encontre du Président et de ses collaborateurs. Puis, ils se sont retirés, en affirmant que le message est passé et en promettant de revenir. Le Comité de Direction, qui a jugé inadmissible et intolérable une telle attitude, a adressé une demande d’explication à chaque enseignant. Celle-ci est restée sans suite. Face à cette défiance de l’autorité, un Conseil extraordinaire de l’Université, qui s’est mué en Conseil de Discipline, a été convoqué le mardi, 15 janvier 2019, pour entendre lesdits enseignants. Ce Conseil n’a pas pu aller à son terme. Le Secrétaire général de la CNEC, en l’occurrence Johnson Kouassi Zamina, ayant endossé la responsabilité des actes commis par les mis en cause, a empêché le déroulement du Conseil de Discipline. En effet, la parole lui ayant été refusée, en sa qualité de membre observateur, conformément aux textes en vigueur, lui et le groupe des mis en cause sont entrés dans une grande colère et ont perpétré des actes d’une rare violence, notamment en saccageant le matériel installé pour la pause-café et en séquestrant tous les membres du Conseil pendant une demi-heure. Cette séquestration a été accompagnée de propos discourtois, de menaces de mort et de menaces de perturbations de toutes les activités académiques sur le campus. Le Conseil a jugé inqualifiables et inacceptables de tels actes de la part des mis en cause et du Secrétaire général, porte-parole de la CNEC. À cet effet, le Conseil a condamné, avec la dernière énergie, ces nouveaux actes de violence et a exigé des sanctions disciplinaires exemplaires à l’encontre des fautifs. Il a également décidé d’ester en justice pour les actes de vandalisme, les menaces de mort et du renvoi de la session du Conseil interrompue, à une date ultérieure. La Conférence des Présidents des Universités et Grandes Écoles Publiques de Côte d’Ivoire s’est également réunie pour condamner ces actes et exiger aussi des sanctions disciplinaires exemplaires à l’encontre des fautifs. Le Conseil de Discipline, qui a été interrompu le 15 janvier 2019, s’est finalement tenu, le 29 janvier 2019. Les mis en cause se sont fait assister de Me GOBA, Avocat à la Cour. À l’issue de leur audition pour les faits du 17 décembre 2018, de la plaidoirie de leur avocat et de la délibération, deux(02) enseignants ont été suspendus de toutes activités académiques pour une période d’un an, avec interdiction de présence sur les campus, pendant toute la durée de cette suspension. Il s’agit de Monsieur Dagbé Ahodan Stéphane, Maître-Assistant en Criminologie et de Monsieur Kouadio Amani Augustin, Maître-Assistant en Sociologie. Six (06) autres ont été blà¢més. Ce sont : -M. Brou Kamenan Marcel, Assistant en géographie ; -M. Dakon N’da Joseph, Maître-Assistant en Criminologie ; -M. Kouamé Atta, Maître de Conférences en Anthropologie ; -M. Kouassi Kouakou Firmin, Maître-Assistant en anthropologie ; -M. Kpatta N’cho Jérôme, Maître-Assistant en Anthropologie ; -M. Zamblé Bi Zou Ambroise, Maître-Assistant en Sociologie. Conformément aux textes en vigueur, les huit (08) enseignants peuvent faire appel des décisions susmentionnées auprès du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Face à ces sanctions infligées par le Conseil de Discipline à des enseignants considérés comme tels et non comme des militants d’un syndicat, la CNEC a porté le conflit sur un terrain purement syndical et a opté pour la désinformation et la défiance à outrance des autorités universitaires, en se répandant dans les journaux et dans les réseaux sociaux. Le Conseil syndical de la CNEC, qui est l’instance au-dessus du bureau Exécutif National dudit syndicat, a même désavoué cette voie. Réuni en session extraordinaire, élargie aux membres fondateurs, le samedi, 26 janvier 2019, ce Conseil a décidé de suspendre toutes les activités du Bureau Exécutif National et celles des Sections de l’UFHB, jusqu’à nouvel ordre. Par ailleurs, il a recommandé aux responsables syndicaux incriminés de s’abstenir de toute action de nature à compromettre le dénouement heureux de cette crise. Le Président de l’Université Félix Houphouët-Boigny Prof. Abou KARAMOKO
il y a 5 ans
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aze
C'est une bonne question d'exiger la libération immédiate...Apprendre à demander pardon à celui qui te fait tort...n'est pas mauvais même quand tu as raison.La sagesse voudrais que tu comprenne que celui qui fait la loi est au pouvoir et toi dans la rue...Changeons nos manières de faire et respectons nos dirigeants pour nous accorder clémence !
C'est une bonne question d'exiger la libération immédiate...Apprendre à demander pardon à celui qui te fait tort...n'est pas mauvais même quand tu as raison.La sagesse voudrais que tu comprenne que celui qui fait la loi est au pouvoir et toi dans la rue...Changeons nos manières de faire et respectons nos dirigeants pour nous accorder clémence !
il y a 5 ans
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aze
Le vivre ensemble doit être une culture de l'Ivoirien, les infantillages des ordres ne servira à rien, soyons mature pour avancer...c'est se rabaisser en laissant des ultimatums, en quelle année la planche à billet sera en Cote d'Ivoire avec ces comportements ?
Le vivre ensemble doit être une culture de l'Ivoirien, les infantillages des ordres ne servira à rien, soyons mature pour avancer...c'est se rabaisser en laissant des ultimatums, en quelle année la planche à billet sera en Cote d'Ivoire avec ces comportements ?
il y a 5 ans
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lagoallahdinmin
Quand tu as fait des études universitaires tu sais un peu de quoi parle le texte . Quand des savants se levent pour marcher dans un pays et des gens comme kandia je sais pas ou la mettre même parle ça fait rire . C est comme le Virgile qui donne ordre au directeur de la banque
Quand tu as fait des études universitaires tu sais un peu de quoi parle le texte . Quand des savants se levent pour marcher dans un pays et des gens comme kandia je sais pas ou la mettre même parle ça fait rire . C est comme le Virgile qui donne ordre au directeur de la banque
il y a 5 ans
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SRIKA BLAH
"VIVRE-ENSEMBLE" de Ouattara DRAMANE est devenu : "chacun chez soi..."
"VIVRE-ENSEMBLE" de Ouattara DRAMANE est devenu : "chacun chez soi..."
il y a 5 ans
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15565
Sans surprise… Armand Ouegnin et les sauvages de EDS qui n’existent que de nom ne peuvent s’empêcher de se branler sur cette affaire. Au fait, il faut commencer par exiger la libération non-conditionnelle du chenapan vaurien gbagba…. On observe…
Sans surprise… Armand Ouegnin et les sauvages de EDS qui n’existent que de nom ne peuvent s’empêcher de se branler sur cette affaire. Au fait, il faut commencer par exiger la libération non-conditionnelle du chenapan vaurien gbagba…. On observe…
il y a 5 ans
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Ziegler
Sauf récupération politique, je demanderai à l'EDF, plutôt que d'exiger la libération sans condition; d'utiliser la voie de la sagesse, qui est celle d'approcher les dirigeants de l'UFHB et de la CNEC afin de s'enquérir des motifs qui ont amené l'arrestation de leurs complices, tapis dans l'ombre. On voit toujours le dos du nageur. Ko on "exige"....
Sauf récupération politique, je demanderai à l'EDF, plutôt que d'exiger la libération sans condition; d'utiliser la voie de la sagesse, qui est celle d'approcher les dirigeants de l'UFHB et de la CNEC afin de s'enquérir des motifs qui ont amené l'arrestation de leurs complices, tapis dans l'ombre. On voit toujours le dos du nageur. Ko on "exige"....
il y a 5 ans
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Ziegler
Merci @ Bombardier.c'est ce que j'explique sur ce site tous les jours.
Merci @ Bombardier.c'est ce que j'explique sur ce site tous les jours.
il y a 5 ans
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15565
Sur un sujet connexe concernant la « marche » dite « verte » un certain plaisantin frontiste encagoulé aigri et haineux au pseudonyme de @Alexandre Dumas sur ce site avait présenté un torchon venant de la CNEC. Je l’inviterai courageusement, oui courageusement, à lire le rappel fait ici par le contributeur @lbombardier72@gmail.com. Ce qui est le plus marrant c'est que ces clowns croient toujours détenir la vérité ultime et se croit les plus intelligents dans ce pays. Au-delà de cela quand des profs payes à coup de millions et supposes être des exemples et éducateurs des jeunes de ce pays se comportent comme des microbes, il faut être vraiment un frontiste taré pour les défendre... On avance... On observe aussi...
Sur un sujet connexe concernant la « marche » dite « verte » un certain plaisantin frontiste encagoulé aigri et haineux au pseudonyme de @Alexandre Dumas sur ce site avait présenté un torchon venant de la CNEC. Je l’inviterai courageusement, oui courageusement, à lire le rappel fait ici par le contributeur @lbombardier72@gmail.com. Ce qui est le plus marrant c'est que ces clowns croient toujours détenir la vérité ultime et se croit les plus intelligents dans ce pays. Au-delà de cela quand des profs payes à coup de millions et supposes être des exemples et éducateurs des jeunes de ce pays se comportent comme des microbes, il faut être vraiment un frontiste taré pour les défendre... On avance... On observe aussi...
il y a 5 ans
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