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Côte d'Ivoire : Nommé par Thiam, président du PDCI, Billon démissionne, ce qu'il confie
 

Côte d'Ivoire : Nommé par Thiam, président du PDCI, Billon démissionne, ce qu'il confie

 
 
 
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 Il y a 8 mois
 
 
 
 
 
© Koaci.com - mercredi 06 mars 2024 - 21:00

Billon



La démission de Jean Louis Billon en tant que Secrétaire Exécutif en charge du secteur privé, annoncée le mardi 5 mars, a suscité des réactions au sein du parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI).


Cette décision, motivée par des raisons personnelles, selon la note parvenue à KOACI, marque un tournant dans la trajectoire politique de la Côte d'Ivoire.


Jean Louis Billon ne se reconnaît pas à ce poste de Secrétaire Exécutif au sein du PDCI .


 

Enfin, notons que s'il est vrai que Jean Louis Billon a joué un rôle majeur dans la promotion du secteur privé et le développement économique de la Côte d'Ivoire, sa démission traduit le fait qu'il attend se porter candidat à la présidentielle de 2025.




Jean Chresus, Abidjan


 
 
  Par Koaci
 
 
 
 
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Joperfal
Thiam ne fait pas de consultation prealable avant ses nominations. Ca devient un peu ridicule. Pire comment peut-il nommer Dodo qui a longtemps quitter le PDCI pour le restaurant? Thiam veut corriger quoi de son predecesseur Bedié? Attention!
 
 il y a 8 mois     
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Ubiquismus
" Nommé par Thiam, président du PDCI, Billon démissionne, ce qu'il confie" -C'est comme une tempête dans un verre d'eau. Ou alors, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. -Bien que : Billon, Thiam, Tanoh, ..., voire Dramane soient tous "impérialo-compatibles", la méchanceté gratuite du dictateur fait qu'on ne peut le mélanger avec tous les autres, qui sont potentiellement contrôlables et maîtrisables par le système de prédation occidentale. -Les impérialistes ont tjrs eu plusieurs flèches à leur arc. Lorsqu'ils constatent que la méthode DIRECTE ne marche pas, ils se rabattent aisément sur les méthodes indirectes pour atteindre le but (ou objectif). Il est vrai que si on veut opérer (avec ou sans anesthésie) un blessé GRAVE pour le sauver, il est souhaitable de choisir l'opération la moins VIOLANTE. -Si nous les subsahariens voulons réellement sortir de cette exploitation séculaire que nous subissons des autres terriens, il faut que nous soyons capables d'élaborer nous-mêmes des grilles d'évaluation autonomes et pertinentes pour le choix de nos dirigeants. -Certains critères sont visibles à l'oeil nu pour écarter ou retenir certains hommes ou femmes pour diriger. Compte tenu de la puissance de nos exploitants, les critères standards comme : l'art oratoire, le niveau d'études, etc. doivent être relégués au second plan, même s'ils sont nécessaires mais pas suffisants. D'autres critères doivent immédiatement être éliminatoires tels que : les poltrons, les cupides et souvent corrompus, ceux qui n'ont pas la capacité de dire NON (donc des influençables), ceux dont le train de vie matérielle les rend vulnérables aux pressions des impérialistes, ceux qui sont médiatiquement adoubés par nos sempiternels exploiteurs (à l’opposé de ceux qui sont détestés), etc. -Regardez les luttes géostratégiques actuelles, c'est par le gel des biens et argent qu'ils commencent tjrs. Si un dirigeant n'a rien chez eux, ils deviennent très NERVEUX. C'est le problème qu'ils ont actuellement avec les régimes de transition au sahel...bref !! -Arrêtons de nous laisser manipuler comme de GRANDS ENFANTS inconscients !!
 
 il y a 8 mois     
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