Cameroun : Chantage 2.0, comment des manipulateurs tentent d'extorquer Steven Nbienou Kouadjio avec de fausses accusations
Après la découverte sans vie du corps d’une jeune femme, Steven Nbienou Kouadjio, entrepreneur camerounais, fait l'objet d'une vaste campagne de chantage, qui tentent de le lier au présumé meurtrier pour lui extorquer de l'argent. Alors qu'aucune preuve ne lie Nbienou Kouadjio à cette affaire, sa collaboration avec Bansena ayant cessé depuis plus de deux ans.
Avec l'ère du numérique où la réputation peut être détruite en quelques clics, une nouvelle forme de chantage émerge : l'extorsion par diffamation orchestrée. Steven Nbienou, jeune entrepreneur camerounais, fait actuellement les frais d'une campagne malveillante qui révèle les méthodes sournoises des maîtres-chanteurs modernes. Ceux qui sont en cause sont très célèbres sur les réseaux sociaux camerounais.
Depuis quelques jours, le nom de Steven Nbienou circule abusivement dans l'affaire Bansena, avec en toile de fond, la mort de Merveille Mbella, alors qu'aucun élément factuel ne justifie cette association. Cette manipulation délibérée suit un schéma classique du chantage moderne sur les réseaux sociaux camerounais.
Le modus operandi consiste à créer artificiellement un lien avec une affaire médiatisée pour exercer une pression psychologique et financière sur la victime ou présumé bourreau.
Paulin Bansena cité comme meurtrier
Les faits sont pourtant limpides : Steven Nbienou jeune entrepreuneur camerounais a cessé toute collaboration avec Bansena Paulin depuis plus de deux années, bien avant les événements actuels. Cette rupture définitive, survenue après son mariage avec l'artiste Muriel Blanche, était motivée par des comportements qu'il jugeait inappropriés. Même l'entourage militaire de Bansena confirme cette séparation professionnelle.
L'enquête révèle l'identité des véritables manipulateurs : un individu en fauteuil roulant agissant de concert avec l'ex-compagne de Steven Nbienou. Ce duo a méthodiquement approché plusieurs influenceurs et « lanceurs d'alerte », bien connus, pour les convaincre d'impliquer artificiellement Nbienou dans cette affaire.
Heureusement, plusieurs influenceurs contactés ont refusé de participer à cette manœuvre, démontrant ainsi la nature préméditée de cette campagne de chantage. Au Cameroun, certains prétendus « lanceurs d'alerte » peuvent être instrumentalisés par des individus mal intentionnés pour servir leurs intérêts personnels.
Pattern récurrent d'extorsion
La réussite professionnelle Steven Nbienou et sa discrétion en font régulièrement une cible privilégiée pour les escrocs qui tentent de lui extorquer de l'argent en inventant des histoires compromettantes.
L'affaire du prétendu « restaurant de Bastos » illustre parfaitement cette mécanique. Les enquêteurs sont formels, Nbienou a découvert ces rumeurs en même temps que le public, sans aucune implication réelle. Pourtant, ses détracteurs exploitent systématiquement ces éléments pour alimenter le soupçon et créer une pression propice au chantage.
Steven Nbienou, actuellement à l'étranger, se trouve dans l'impossibilité de se défendre efficacement contre cette campagne orchestrée. Aucune preuve, aucun témoignage crédible, aucun élément d'enquête ne l'implique dans les faits reprochés à Bansena. Son seul « crime » semble être sa réussite professionnelle, qui attise la convoitise des manipulateurs.
Face à ces manipulations, la vigilance s'impose : avant de juger, exigeons des preuves.
-Armand Ougock, correspondant permanent de Koaci au Cameroun.
-Joindre la rédaction camerounaise de Koaci au 237 691154277-oucameroun@koaci.com
Infos à la une
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
