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Côte d'Ivoire: Fraternité matin, vers la réintégration de Allah Alakagny et Marcelline Gneproust, la Direction défie le ministère quant aux cas de Presthone Brou et Sinzé Théodore
© Koaci.com - vendredi 26 avril 2019 - 18:13
Quatre ont formé quelques jours après leur départ forcé de l’entreprise, un recours hiérarchique contre la décision n°1135/MEPS/DGT/DIT/IIAG du 14 décembre 2018 de l’Inspecteur du Travail d’Abobo-Adjamé.
Il s’agit des confrères Brou Presthone, Alakagni Allah, Marcelline Gneproust, Sinzé Théodore qui ont tous obtenu gain de cause après 4 mois d’enquête diligentées par la Direction du travail sur instructions du ministre de l’Emploi et de la protection sociale.
Il était question que ces derniers soient réintégrés au sein de l’ancienne entreprise puisqu’au terme de cette enquête, il s’est avéré que c’est au mépris du Code du travail que les quatre employés protégés par la loi ont été remerciés par leur employeur.
Le 11 avril dernier, comme mentionné dans un document signé, le Directeur de cabinet du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Jean-Jacques Kanga, les quatre confrères devraient retrouver leur poste.
Ils ont déposé conformément à la loi, le 16 avril dernier un courrier auprès de la direction de Fraternité Matin pour leur réintégration.
L’employeur avait selon les textes du code du travail, 8 jours pour répondre favorablement aux différents courriers de nos confrères.
Soit, l’employeur les réintégrait, soit il refusait or dans ce cas, le licenciement pour motif économique devenait « un licenciement abusif ».
En principe les huit jours donnés à la Direction de Fraternité Matin pour réintégrer ou non les quatre journalistes protégés ont expiré hier.
Selon des sources syndicales, l’employeur a répondu favorable au courrier de deux journalistes sur les quatre.
Il s’agit des plus anciens, Marcelline Gneproust 28 ans d’ancienneté et de Alakagny Allah, 17 ans.
Les deux confrères ont été joints par téléphone par la Direction des Ressources humaines de Fraternité Matin dans la soirée d’hier.
Notre source affirme qu’ils n’ont pu entrer en possession de leur lettre de réintégration faute de signature de ce précieux document.
Quant aux deux autres confrères, Brou Presthone et Sinzé Théodore, ils ont été « ignorés » pour des raisons dont nous ignorons à l’heure actuelle.
Nous apprenions par ailleurs que ces deux employés protégés qui cumulent 12 ans d’ancienneté, 5 ans pour Sinzé Théodore et 7 ans pour Presthone Brou ont déposé un courrier à la Direction de Fraternité matin, ce jour pour dénoncer cette situation.
Ils considèrent que le contrat qui les lie à leur entreprise a été rompu de façon abusive et donc souhaitent que réparation soit faite conformément aux dispositions de la loi ivoirienne.
Fraternité Matin devra verser des droits et dommages d’intérêts conséquents aux deux journalistes laissés désormais sur le carreau.
Nous apprenions enfin que la réintégration des deux plus anciens serait liée au taux trop élevé des droits et dommages d’intérêts que l’entreprise devrait leur reverser.
Selon nos sources c’est plus de 80 millions de FCFA que les deux journalistes devraient recevoir en cas de rupture abusive.
Face à cette situation, Fraternité à préférer sacrifier l’avenir de Presthone et de Théodore, puisque les droits et dommages d’intérêts de ces derniers ne sont pas aussi colossaux que pour les plus anciens.
Wassimagnon
Quatre ont formé quelques jours après leur départ forcé de l’entreprise, un recours hiérarchique contre la décision n°1135/MEPS/DGT/DIT/IIAG du 14 décembre 2018 de l’Inspecteur du Travail d’Abobo-Adjamé.
Il s’agit des confrères Brou Presthone, Alakagni Allah, Marcelline Gneproust, Sinzé Théodore qui ont tous obtenu gain de cause après 4 mois d’enquête diligentées par la Direction du travail sur instructions du ministre de l’Emploi et de la protection sociale.
Il était question que ces derniers soient réintégrés au sein de l’ancienne entreprise puisqu’au terme de cette enquête, il s’est avéré que c’est au mépris du Code du travail que les quatre employés protégés par la loi ont été remerciés par leur employeur.
Le 11 avril dernier, comme mentionné dans un document signé, le Directeur de cabinet du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Jean-Jacques Kanga, les quatre confrères devraient retrouver leur poste.
Ils ont déposé conformément à la loi, le 16 avril dernier un courrier auprès de la direction de Fraternité Matin pour leur réintégration.
L’employeur avait selon les textes du code du travail, 8 jours pour répondre favorablement aux différents courriers de nos confrères.
Soit, l’employeur les réintégrait, soit il refusait or dans ce cas, le licenciement pour motif économique devenait « un licenciement abusif ».
En principe les huit jours donnés à la Direction de Fraternité Matin pour réintégrer ou non les quatre journalistes protégés ont expiré hier.
Selon des sources syndicales, l’employeur a répondu favorable au courrier de deux journalistes sur les quatre.
Il s’agit des plus anciens, Marcelline Gneproust 28 ans d’ancienneté et de Alakagny Allah, 17 ans.
Les deux confrères ont été joints par téléphone par la Direction des Ressources humaines de Fraternité Matin dans la soirée d’hier.
Notre source affirme qu’ils n’ont pu entrer en possession de leur lettre de réintégration faute de signature de ce précieux document.
Quant aux deux autres confrères, Brou Presthone et Sinzé Théodore, ils ont été « ignorés » pour des raisons dont nous ignorons à l’heure actuelle.
Nous apprenions par ailleurs que ces deux employés protégés qui cumulent 12 ans d’ancienneté, 5 ans pour Sinzé Théodore et 7 ans pour Presthone Brou ont déposé un courrier à la Direction de Fraternité matin, ce jour pour dénoncer cette situation.
Ils considèrent que le contrat qui les lie à leur entreprise a été rompu de façon abusive et donc souhaitent que réparation soit faite conformément aux dispositions de la loi ivoirienne.
Fraternité Matin devra verser des droits et dommages d’intérêts conséquents aux deux journalistes laissés désormais sur le carreau.
Nous apprenions enfin que la réintégration des deux plus anciens serait liée au taux trop élevé des droits et dommages d’intérêts que l’entreprise devrait leur reverser.
Selon nos sources c’est plus de 80 millions de FCFA que les deux journalistes devraient recevoir en cas de rupture abusive.
Face à cette situation, Fraternité à préférer sacrifier l’avenir de Presthone et de Théodore, puisque les droits et dommages d’intérêts de ces derniers ne sont pas aussi colossaux que pour les plus anciens.
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SRANBLE DEH
Quand tu marches avec le lucifer forcement tu l'imiteras, voilà ce que tu es dévenu Venance Konan, le diable.
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il y a 5 ans
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