Côte d'Ivoire
Burkina Faso
Gabon
Congo
Sénégal
Bénin
Afrique du Sud
Angola
Botswana
Burundi
Cameroun
Cap-Vert
Centrafrique
Congo (RDC)
Djibouti
Erythrée
Ethiopie
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée Bissau
Guinnée Equator...
Kenya
Lesotho
Libéria
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritanie
Mozambique
Namibie
Niger
Nigeria
Ouganda
Rwanda
Sao Tomé
Sierra Leone
Somalie
Soudan
Swaziland
Tanzanie
Tchad
Togo
Zambie
Zimbabwe
Algérie
Comores
Egypte
Maroc
Tunisie
Libye
Afrique
Angola : Interpol confirme une «notice rouge» pour localiser Isabel dos Santos
Isabel dos Santos (ph)-
Interpol a publié une notice rouge à l'encontre de la femme d'affaires angolaise Isabel dos Santos, fille de l'ancien président José Eduardo dos Santos, a confirmé mercredi la police internationale .
Loin d' être un mandat d'arrêt, la notice rouge constitue une "demande aux forces de sécurité locales du monde entier de localiser et de détenir provisoirement une personne en vue de son extradition, de sa remise ou d'une action en justice similaire.
Surnommée la princesse et considérée comme l'une des femmes les plus riche d'Afrique, Isabel Dos Santos, 49 ans, est dans le viseur de la justice de son pays. Les autorités angolaises la soupçonnent, entre autres, de détournement de fonds, fraude, trafic d'influence et blanchiment d'argent.
En exil en Europe où elle vit, Mme Dos Santos a nié ces allégations et dénoncé une persécution de son pays. Pour elle, il s'agit d'une chasse aux sorcières.
Les malversations présumées qui lui sont reprochées remontent au temps où son père était au pouvoir.
Eduardo dos Santos avait dirigé l'Angola de 1979 jusqu'à sa retraite en 2017. Il est décédé le 8 juillet à Barcelone, en Espagne.
Son successeur, l'actuel président João Lourenço, a fait de la lutte contre la corruption son cheval de bataille.
Selon des rapports de presse, on reproche à Isabel dos Santos d'avoir détourné des fonds de l'entreprise pétrolière étatique, la Sonangol. Des montants qui pourraient atteindre le milliard de dollars américains.
Infos à la une
Et pourtant chez nous en CIV, Ouattara a laissé rentré sans conséquences tous les pilleurs et tueurs à l'instar de kati-con, picka-con et le plus taré polygame illettré nommé koudou et consorts qui se baladent peinards et vont même faire des inscriptions fictives sur les listes électorales. Dites-moi, en tant qu'observateur, est-ce qu'il ne fait pas bon vivre en CIV ? On observe...
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
