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Côte d'Ivoire :  Yamoussoukro, l'Académie de la Bonne Gouvernance clôture sa première session sur une promesse d'impact durable
 

Côte d'Ivoire : Yamoussoukro, l'Académie de la Bonne Gouvernance clôture sa première session sur une promesse d'impact durable

 
 
 
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© Koaci.com - vendredi 02 mai 2025 - 09:20

La cérémonie (Ph KOACI) 


La première édition de l’Académie de la Bonne Gouvernance et du Leadership Anti-Corruption s’est achevée le mercredi 30 avril dernier dans la capitale politique ivoirienne, marquant un tournant décisif dans la lutte contre la corruption en Afrique de l’Ouest, a constaté KOACI sur place.


Organisée avec le soutien de partenaires de prestige tels que la Banque Mondiale via le PAGDS, l’Académie Internationale Anti-Corruption (IACA) et le CESAG, cette session de formation a réuni une cinquantaine de hauts cadres venus de plusieurs pays de la sous-région.


Durant une semaine intense, les participants ont été initiés à des outils et pratiques innovants favorisant l’intégrité, la transparence et la bonne gouvernance. Une dynamique nouvelle saluée par M. Épiphane Zoro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG), qui a qualifié la session d’« appel à l’action » face à l’ampleur des défis continentaux.

« Je vous invite à partager ces acquis avec vos collègues et votre entourage professionnel, afin d’en multiplier l’impact », a-t-il exhorté devant un auditoire conquis.

Son discours, à la fois lucide et porteur d’espoir, a souligné l’urgence d’une mobilisation collective pour renforcer l’éthique publique à tous les niveaux.

Au nom des participants, Dr Olivier-Charles Attindehou, Secrétaire général du Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption du Bénin, a exprimé une conviction partagée :

« Ce que nous vivons ici n’est pas une simple formation, c’est une prise de conscience collective, un tournant décisif ! »

Son message, fort et fédérateur, a mis l’accent sur la nécessaire coopération sous-régionale et le rôle exemplaire que devront jouer les auditeurs en tant que « bâtisseurs de changement ».


La cérémonie de clôture a aussi été l’occasion de saluer les acteurs clés de cette initiative. Des remerciements appuyés ont été adressés à la Ministre d’État, Ministre de la Fonction Publique, pour son appui constant, ainsi qu’à tous les partenaires impliqués. Un hommage particulier a été rendu à Son Excellence le Président de la République, dont « l’engagement indéfectible en faveur de la bonne gouvernance », illustré par la présence du Vice-Président à l’ouverture de l’Académie, a fortement marqué les esprits.


Loin de représenter une fin, cette session inaugurale ouvre la voie à une nouvelle génération de leaders engagés. Tous les intervenants l’ont affirmé : le véritable défi commence maintenant, sur le terrain.


« Mettez en pratique avec rigueur tout ce que vous avez appris ici à Yamoussoukro », a conclu le Président de la HABG, appelant à une démultiplication des compétences acquises.

Avec cette Académie, la Côte d’Ivoire se dote d’un outil stratégique pour impulser une gouvernance éthique, crédible et durable. Plus qu’un cadre de formation, elle devient un symbole d’espérance et d’action pour une Afrique résolument tournée vers la transparence.

Blandin Yao-Kan

Côte d’Ivoire / Yamoussoukro : L’Académie de la Bonne Gouvernance clôture sa première session sur une promesse d’impact durable

La première édition de l’Académie de la Bonne Gouvernance et du Leadership Anti-Corruption s’est achevée le mercredi 30 avril dernier dans la capitale politique ivoirienne, marquant un tournant décisif dans la lutte contre la corruption en Afrique de l’Ouest. A constaté Koaci sur place.


Organisée avec le soutien de partenaires de prestige tels que la Banque Mondiale via le PAGDS, l’Académie Internationale Anti-Corruption (IACA) et le CESAG, cette session de formation a réuni une cinquantaine de hauts cadres venus de plusieurs pays de la sous-région.


Durant une semaine intense, les participants ont été initiés à des outils et pratiques innovants favorisant l’intégrité, la transparence et la bonne gouvernance. Une dynamique nouvelle saluée par M. Épiphane Zorro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG), qui a qualifié la session d’« appel à l’action » face à l’ampleur des défis continentaux.

« Je vous invite à partager ces acquis avec vos collègues et votre entourage professionnel, afin d’en multiplier l’impact », a-t-il exhorté devant un auditoire conquis.


Son discours, à la fois lucide et porteur d’espoir, a souligné l’urgence d’une mobilisation collective pour renforcer l’éthique publique à tous les niveaux.


Au nom des participants, Dr Olivier-Charles Attindehou, Secrétaire général du Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption du Bénin, a exprimé une conviction partagée :


« Ce que nous vivons ici n’est pas une simple formation, c’est une prise de conscience collective, un tournant décisif ! »

Son message, fort et fédérateur, a mis l’accent sur la nécessaire coopération sous-régionale et le rôle exemplaire que devront jouer les auditeurs en tant que « bâtisseurs de changement ».


La cérémonie de clôture a aussi été l’occasion de saluer les acteurs clés de cette initiative. Des remerciements appuyés ont été adressés à la Ministre d’État, Ministre de la Fonction Publique, pour son appui constant, ainsi qu’à tous les partenaires impliqués. Un hommage particulier a été rendu à Son Excellence le Président de la République, dont « l’engagement indéfectible en faveur de la bonne gouvernance », illustré par la présence du Vice-Président à l’ouverture de l’Académie, a fortement marqué les esprits.


Loin de représenter une fin, cette session inaugurale ouvre la voie à une nouvelle génération de leaders engagés. Tous les intervenants l’ont affirmé : le véritable défi commence maintenant, sur le terrain.


« Mettez en pratique avec rigueur tout ce que vous avez appris ici à Yamoussoukro », a conclu le Président de la HABG, appelant à une démultiplication des compétences acquises.


 

Avec cette Académie, la Côte d’Ivoire se dote d’un outil stratégique pour impulser une gouvernance éthique, crédible et durable. Plus qu’un cadre de formation, elle devient un symbole d’espérance et d’action pour une Afrique résolument tournée vers la transparence.





Donatien Kautcha, Abidjan 










 













 
 
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