Les députées devront se pencher sur plusieurs sujets qui concernent la vie du Togo. Parmi ces sujets en vue, on peut rappeler les réformes institutionnelles et constitutionnelles. 

Des points concernant sont les reformes sont la limitation du mandat présidentiel à  deux, à  l’adoption du scrutin présidentiel à  deux tours, la réforme de la Cour constitutionnelle et à  la limitation à  deux de son mandat, etc. 

Si la nécessite d’opérer les reformes au Togo est partagé par les togolais dans leur grande majorité, le point portant sur la limitation du mandat présidentiel à  deux et surtout une polémique ayant portée sur sa rétroactivité ou non avait été une pomme de discorde entre le pouvoir et la coalition des partis de l’opposition. Les propositions de réformes mêmes celles suggérées par la CEDEAO étant restées en suspens jusqu’à  la fin du mandat de la dernière législature, il revient aux députés de l’actuelle Assemblée nationale composée en majorité par les élus du parti UNIR, des centristes et des indépendants de se pencher sur la question pour décanter la situation et faire avancer le pays.

En dehors de l’attente de ces reformes à  examiner et adopter et à  l’occasion de la première session ordinaire de l’année 2019, l’Assemblée va enregistrer la présence de plusieurs représentants de parlements africains.

Avant l’entame de la première session ordinaire de l’année 2019, l’Assemblée a clôturé le 29 mars dernier la deuxième session extraordinaire de la 6è législature de la IVè République. L’Assemblée nationale togolaise est composée de 91 députés issus de 06 partis politiques et d’une dizaine de formations indépendantes

Mensah, Lomé

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