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Côte d'Ivoire : CPI, la défense de Gbagbo dénonce un procès d'intention de l'accusation contre la majorité des juges de la chambre de première instance
Me Jacobs ce mardi (Ph KOACI)
Ouvert lundi à la Cour Pénale Internationale (CPI), l’audience des observations à l’appel du Procureur, Fatou Bensouda contre l’acquittement de Laurent Gbagbo et Blé Goudé se poursuit ce mardi.
Après l’accusation, la défense de l’ex-chef d’Etat ivoirien a pris la parole.
Dans sa plaidoirie, Me Jacobs Dov a dénoncé les allégations du procureur remettant en cause la décision des juges de la majorité de la chambre de première instance du 15 janvier 2019.
Pour l’avocat, le bureau du Procureur est incapable de démontrer qu’il n’aurait pas eu d’analyses de ses preuves selon un standard bien défini.
« C’est un procès d’intention fait par le Procureur aux juges dans le procès d’appel. La décision repose solidement sur une analyse profonde des éléments de preuves. », a-t-il indiqué.
Il a fait savoir que Fatou Bensouda et son équipe ne remettent pas en cause le standard utilisé par la majorité des juges.
Le conseil de l’ancien Président ivoirien a révélé que le juge-président de la chambre de première instance, Cuno Tarfusser, a confié que la preuve du Procureur est si faible qu’il ne satisfait à aucun standard de preuves même le plus bas.
La défense après constat, relève que l’accusation n’exprime que de simples désaccords avec la chambre comme si le procès n’avait pas lieu.
« En définitive, la chambre d’appel ne saurait valider l’appel du Procureur qui est un écran de fumée (...) », a recommandé Me Jacob Dov.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Le bureau de la procureur, et la représentante des victimes RHDP unifié car c'est ce qui en est, doivent reconnaître leur défaite humblement, allez dire à ceux qui vous ont envoyé et financés à des centaines de millions voire milliards que ce monsieur Gbagbo, n'est pas simplement un humain, c'est aussi un mythe qui risque de gâcher le reste de votre carrière s'ils continuent de s'entêter.
Fatou Bensouda pense qu'elle se trouve en Gambie au temps du dictateur Yaya Jammeh. Où même en Côte d'Ivoire sous le potentat Dramane et son Procureur Adou Richard. Tu perds ton n procès en première instance et au lieu de trouver de solides argumentaires pour faire appel c'est à la sincérité des juges que tu t'en prend. C'est seulement dans des républiques bannière qu'on peut voir de telles hérésies. Et j'espère bien que la CPI va pour une fois nous faire mentir...
En tout cas, elle se trouve dans un film ou le scénario a été écrit par les rebelles depuis 2002.
Je dis oh, comment quelqu'un porte plainte. Et la justice te dit que tes preuves ne suffisent pas pour qu'il y aie procès tu dis niet il faut un procès parce que tu as des témoins. pendant 3 ans tes témoins se succèdent à la barre sans oublier que la plainte elle même trainait dans vos mains depuis 2002 amplifiée en 2010 et formalisé en 2011. Malgré vos semblant de preuves basées sur des ouïe dire vous voulez que la justice condamne des gens.
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