Côte d'Ivoire : Présidentielle, voici les engagements pris par la potentielle candidate Simone Gbagbo
Simone Gbagbo , samedi à Yop (DR)
L’ex-Première Dame de Côte d’Ivoire, Madame Simone Ehivet Gbagbo, à l’intention de se présenter à l’élection du Président de la République, le 25 octobre 2025.
Elle a fait cette annonce le week-end dernier lors de la troisième édition de la Fête des Libertés qui commémore le retour de la Côte d'Ivoire au multipartisme s'est déroulée à Abidjan.
Le thème de l'édition 2025 est : « Générations capables : vers une Côte d'Ivoire réconciliée et souveraine. »
Le parti politique Mouvement des Générations Capables (MGC) a proposé ses solutions aux problèmes de la Côte d'Ivoire.
La présidente du MGC, Simone Ehivet Gbagbo, a défini la Fête des Libertés. Selon elle, cette fête commémore le retour de la Côte d'Ivoire au multipartisme, le 30 avril 1990.
« Cette date marque la sortie définitive du pays du parti unique et constitue le fondement même de notre combat politique actuel », a-t-elle précisé.
Ensuite, la candidate déclarée à l'élection présidentielle d'octobre 2025, a pris des engagements vis-à-vis de ses militants et du peuple ivoirien.
« Quand je serai élue Présidente de la République de Côte d'Ivoire, je m'atteler ai à : bâtir une administration moderne, efficace, citoyenne et transparente ; rendre l'économie de notre pays prospère, basée sur des piliers maîtrisés ; faire de la Côte d'Ivoire un pays de cohésion et d'égalité sociales », a promis Simone Ehivet Gbagbo.
Le MGC annonce remédier à ce qu’il qualifie d’instrumentalisation de la justice en proposant de garantir l'indépendance réelle et effective du pouvoir judiciaire et de promouvoir une gouvernance transparente, notamment grâce à la modernisation de l'administration judiciaire par la digitalisation des procédures et la dématérialisation des services.
Enfin, pour endiguer la cherté de la vie, l'inflation et la pauvreté, le MGC entend réorienter une part significative de l'économie nationale vers l'autosuffisance alimentaire, grâce à la création de pôles agropastoraux modernes, la mise en place d'une banque agricole et le soutien de l'agriculture familiale.
Donatien Kautcha, Abidjan
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